Découverte du fist

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il y a 6 ans

Découverte du fist

« Représentant de commerce, je devais découcher de nombreux soirs par semaine. A l’hôtel, je me masturbais souvent pour me désennuyer le soir, et à 45 ans , une occasion fortuite me révéla ma bisexualité. Je connaissais bien des clients, un couple d’horticulteur dont la femme travaillait dans les bureaux. Je déjeunais souvent chez eux à midi et elle me proposa un jour de faire étape et de dîner chez eux pour avoir plus de temps pour se parler et se connaître, leurs e n f a n t s étant en internat à la ville. Au cours du repas, on aborda vite les confidences sexuelles et elle se plaignit que son mari l’abandonnait sexuellement. Lui, un peu penaud, déclara que sa libido s’était féminisée et que seule « sa chatte » l’intéressait désormais. Devant mes yeux interrogateurs, il précisa qu’il aimait désormais se faire sodomiser et sa femme rajouta « et même plus… ». Devant leur infortune, je proposais de les aider et il fut décidé de passer au lit sur le champ.

Allongée nue sur le lit, les jambes écartées, elle m’invita à la lécher, ce qu’elle rêvait depuis longtemps. Nous étions nus le mari et moi. Je me mis en place et lui me regardait faire. La chatte était charnue, sentait la femelle et était déjà toute mouillée d’excitation. Elle reçut mes coups de langue avec avidité et mes succions lui déclenchaient des gémissements sonores et de grands coups de reins. Puis nous nous mîmes en 69, moi dessous. J’écartais ses fesses en grand pour respirer et dégager la vision de ses orifices, en continuant de la lécher, ce qui créa une belle érection du mari qui s’agenouilla près de ma tête, rentra son gland dans la chatte de sa femme et commença à la baiser.

Je voyais cette queue aller-et-venir à cinq centimètres de mon visage et continuais mes caresses buccales. Soudain, le mari dégagea sa queue et me la plongea dans la bouche, puis il reprit sa baise, mais trois coups après, re-dans ma bouche, il continua pas la fourrer dans ma bouche un coup sur deux. C’était nouveau pour moi mais pas désagréable et je suçait sa queue à chaque intrusion. A la fin, excité, il éjacula presque tout dans ma bouche, j’avalais sa jute en même temps que la cyprine de la dame. La femme s’en étant rendue compte se releva et constata que j’avais le visage couvert de sperme. Elle s’en excusa et querella son mari, mais j’arrêtai immédiatement ses critiques en leur déclarant que c’était nouveau pour moi et que c’était délicieux. Le goût et la quantité à avaler me plaisaient beaucoup.

Elle proposa de me laver le visage dans la salle de bain. Elle m’expliqua que c’était rare à présent de le voir juter et voulu me montrer les nouvelles pratiques sexuelles de son mari. Il se mit aussitôt à quatre pattes dans la baignoire, elle dévissa la pomme de douche, régla le débit et lui rentra le tuyau dans l’anus; il recracha des crottes tout en faisant des couinements de porcelet, puis petit à petit l’eau recrachée devint limpide. J’étais stupéfait et fasciné par cette pratique. Sitôt séchés, on repassa dans la chambre, le mari de coucha en travers sur les genoux de sa femme assise sur la bord du lit et celle-ci s’enduisit une main avec un gel, puis elle lui ouvrit les fesses et plongea sa main doucement mais fermement dans l’anus, doigt après doigt.

Le mari soufflait fort et couinait davantage à chaque va-et-vient de sa main. C’était un « fistfucking » et c’est à partir de cet instant, en constatant le plaisir qu’éprouvait le mari, que je suis devenu un adepte de l’assouplissement anal pour qu’une main bienveillante pénètre mon anus. Je dois ce bonheur à ce couple qui m’avait initié à cette pratique sexuelle anale et je les en remercie tous les jours. Je suis dorénavant « bi », je baise les femmes et me fais baiser par les hommes, j’offre ma chatte et ma bouche pour recevoir leurs mains et leur jute pour une plaisir partagé.

Anecdote: un jour que devais dormir chez eux, j’entrais dans la maison et je vis mon client, nu, allongé sur les genoux d’un Monsieur encore à moitié habillé d’un costume sombre. Ce dernier fistait de bon coeur mon client qui était dans un état extatique. Pendant le dîner, j’appris que c’était un « élu local » qui exerçait des pratiques régulières de domination sur le couple, moyennant l’attribution de marchés publics, un échange de services en quelque sorte.

A propos du fist: un fist apporte un plaisir maximum jamais atteint pas d’autres pratiques, c’est un plaisir fort car il provient du sphincter anal qui est f o r c é par la main fisteuse. Le receveur doit offrir un anus bien assoupli pour accueillir une main qui fait 9 à 11 cm de diamètre mais pas en rond, l’anus s’élargit en suivant la raie culière, et le fisteur doit rentrer doucement mais fermement sa main en fonction de la dilatation obtenue. Le plaisir à ce stade coupe le souffle au fisté, les va-et-viens l’emportent dans une semi-conscience qui le font haleter.

Il sent son ventre se crisper, perd son souffle, a la tête qui tourne, et du sperme coule de son sexe ramolli au rythme des doigts de la main qui massent la prostate. Cette extase dure aussi longtemps que le fisté peut « tenir », au bord de l’évanouissement. Pour un homme, c’est la plus forte jouissance possible qui doit se rapprocher de la jouissante féminine. Une fois la main rentrée, on perd tout contrôle, pour ma part, à ce stade, on est une lope prête à tout faire et a tout subir, à être traitée de salope, de pute, de chienne, de cochonne, à servir de vide-couilles, etc. »

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